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ASSINIE... Côte d'Ivoire
Rallye Côte d'Ivoire Bandama historique
*Il faut espérer qu'un jour il renaitra tel un Phoénix, grace aux efforts des passionnés de la Fédération Ivoirienne qui en RCI continuent d'entretenir sa flamme contre vents et marées et se battent même pour le ramener au niveau international.....
*Cette épreuve a toujours imposé le respect, de nombreux pilotes la trouvant même plus dure, plus variée et plus imprévisible que l'East African Safari.
Patrick Servant / Brion
Rallye du Bandama 1992...
#La Côte d'Ivoire, une Terre de Rallye, berceau du Rallye du Bandama, le Rallye de l'impossible.....
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*MERCI à Pierre Jacquelin
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ASSINIE... Côte d'Ivoire
Le Rallye Côte d’Ivoire Bandama est de retour au calendrier africain, grâce aux efforts conjugués du nouveau Comité Directeur de la Fédération Ivoirienne de Sport Automobile (FISA) dirigée par le président Alain Ambrosino. Le Rallye Bandama, autrefois vitrine sportive et touristique de la Côte d’Ivoire qui avait disparu de la scène internationale depuis plusieurs années fait son grand retour au programme du Championnat africain en mars 2013.
Mais déjà, Alain Ambrosino et son équipe devront réussir l’organisation du Bandama 2012 en décembre prochain. Un observateur de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) supervisera donc le prochain Bandama et des pilotes étrangers seront donc invités pour donner un cachet particulier et marquer déjà la dimension internationale de la course. La capitale politique ivoirienne, Yamoussoukro sera le théâtre de cette course pour laquelle 30 équipages sont annoncés.
En plus du retour certain du Bandama au programme des compétitions Internationales, le Sport Auto ivoirien a également été honoré à la dernière réunion du groupement des Fédérations Africaines de Sport Automobile (CAMS) à l’Ile-Maurice, les 03 et 04 septembre dernier. La FISA a été reconnue comme unique représentant du Sport Automobile ivoirien et confirmée parmi les associations membre de la FIA, après avoir statué sur les problèmes qu’a connu le Rallye en Côte d’Ivoire. Cette décision sera validée lors de l’Assemblée Générale de la FIA prévue en fin d’année, selon le président Ambrosino.
Aussi, le patron du Sport Auto en Côte d’Ivoire a-t-il été désigné, pour représenter la FIA au prochain Rallye de Madagascar en novembre 2012. « Désormais nous avons le droit de délivrer des licences internationales et d’organiser des Rallies internationaux. Parce que nos licences sont reconnues, nos pilotes peuvent donc se rendre à l’étranger pour participer à des compétitions Internationales. Nous avons bon espoir, avec l’implication de tous, que nous réussirons l’organisation du Bandama 2012, afin que le Bandama 2013 compte effectivement pour le championnat d’Afrique », a précisé le président de la FISA. |
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14, 15 & 16 Décembre 2012 :
La légende est de retour, aurez vous le coeur de l'affronter, pire encore,
la vaincre ??? !!!...
38ème Rallye Côte d'Ivoire Bandama 2012 (14, 15 & 16 DECEMBRE)
Pilotes Européens, Venez nombreux
!!!...
Avant la tenue de la prochaine réunion annuelle de la Confédération africaine de sport automobile, Alain Ambrosino, président
de la Fédération ivoirienne de sport automobile (Fisa), est en prospection en Europe, depuis le 4 juillet 2012, auprès des grandes écuries et des pilotes pour mener un lobbying. Cela, dans le but
de les exhorter à venir participer à la 38è édition du Rallye Cote d`Ivoire- Bandama, prévue en décembre 2012. Au cours de cette mission, le président de la Fisa rendra visite à ses homologues de
la Fédération française de l`automobile (Fia), de la Fédération Belge de l`automobile (Fba) et de la Fédération international de l`automobile (Ffa) que dirige le Français Jean Totd. Après ce
‘’marathon’’, Alain Ambrosino posera ses valises à l`Île Maurice pour participer à la prochaine réunion de la Confédération africaine de l`automobile (Caa). C`est à cette réunion que la Caa va
entériner la décision de la fédération internationale de l`automobile de juin 2012. Décision qui le reconnaît désormais comme unique interlocuteur du Sport-Auto en Côte d’Ivoire, au détriment de
Kady Angelbert, présidente de la Fédération ivoirienne de sport automobile (Fisam). Selon une source bien introduite dans ce milieu, le rallye Côte d`Ivoire- Bandama retrouvera de manière
officielle sa place de leader au niveau des championnats africains.
Après actualisation de ses instances, la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) a officiellement intégré la nouvelle
Fédération Ivoirienne de Sport Automobile (FISA), dans ses fichiers.
L’instance ivoirienne du Sport Auto présidée depuis novembre 2011 par Alain Ambrosino a été reconnue comme la seule interlocutrice de la FIA. La décision a été prise au cours d’une Assemblée
générale de l’instance suprême du Sport Automobile à Genève en Suisse, il y a quelques jours.
Elu en Septembre 2011 à la tête de la FISA-CI, sous la supervision du Ministère des Sports et Loisirs, dont il a ensuite eu l’onction pour redorer le blason du Sport Auto en Côte d’Ivoire.
Alors que le Président de la FIA, Jean Todt avait bien précisé à son passage à Abidjan en février dernier, que cette situation n’était que provisoire et qu’elle ne durerait que, le temps de la
mise à jour des fichiers. Depuis le 16 juin, c’est chose faite.
Le Président Ambrosino est donc désormais l’unique représentant de la Côte d’Ivoire à la FIA. Précisons que le Comité Directeur de la nouvelle FISA n'a pas attendu la confirmation de la FIA pour
démarrer ses activités.
En décembre 2011, elle a organisé le 37è Rallye Côte d’Ivoire Bandama, après plusieurs années blanches. Bien avant le Bandama, il y avait eu le Top Chrono d’Assinie. Ensuite, le Rallye Dabou, le
Rallye d’Assinie, le Rallye du Fromager à Gagnoa, le Rallye d’Assinie, le Rallye des Lacs à Yamoussoukro et dernièrement, le Rallye de la Pentecôte à Aboisso.
"Voici les conditions pour relancer le Rallye Côte d’Ivoire Bandama sur le plan
international. Le rôle de la presse"
C'est désormais
l’incontesté champion de Côte d’Ivoire des rallyes, Alain Ambrosino, pilote professionnel reconnu mondialement, qui pilote la destinée du sport automobile dudit pays. Après plus de 43 ans au
volant et à peine installé dans le baquet FISA, il a déjà un plan pour redonner aux rallyes ivoiriens leur place à l’échelon international.
-Depuis quand êtes-vous au commande de la Fédération ivoirienne de sports automobile (FISA) ?
Je dirige la fédération depuis le 17 septembre 2011.
-Le rallye Côte d’Ivoire Bandama n’est plus aux championnats FIA d’Afrique et du monde. Comment jugez-vous cette chute ?
Tout le monde le sait, la Côte d’Ivoire a rencontré une longue période de crise. Il était donc très difficile pour les pilotes de trouver des sponsors, il n’était donc pas évident pour ces
pilotes de s’acheter des voitures pour courir. Maintenant, nous avons la chance de rentrer dans une période plus calme et j’espère que les choses seront plus faciles à gérer.
-Aujourd’hui, le sport automobile est dans un état de délabrement. Vous qui êtes aujourd’hui aux commandes de la fédération, que comptez-vous faire pour redorer son blason à ce sport auto
ivoirien ?
D’ores et déjà, nous avons mis en place un calendrier sportif qui tienne la route contrairement aux autres années où il n’y avait que deux ou trois épreuves, nous aurons cette année onze épreuves
pour l’année 2012. Et depuis ma prise de fonction en 2011, nous avons organisé un top chrono, une petite épreuve sur une journée. Nous avons aussi organisé le rallye Côte d’Ivoire Bandama
nouvelle version selon les normes de la fédération internationale du sport automobile (FIA). Cette année déjà, nous avons réédité un autre top chrono au mois de janvier et le premier vrai rallye
c'est-à-dire le rallye de Gagnoa la semaine dernière (Février) avec plus de 500km au total dont 200km de spéciales sur des pistes extrêmement intéressantes et 13 pilotes qui ont pris le départ.
La saison est donc ainsi ouverte.
-Avec les attributions de la fédé parmi lesquelles se trouve la promotion de la discipline, l’on a l’impression que la presse n’est pas associée. Pourtant, par le passé, il y avait un
certain engouement des médias ivoiriens et internationaux. Que se passe-t-il et comment comptez-vous y prendre ?
Tout à fait. Mais il faut savoir malgré tout que sur les compétions de rallyes c’est à nous fédération de faire comprendre aux journalistes qu’il n’y a pas que le football en Côte d’Ivoire. C’est
donc à nous de donner le gout du sport auto aux journalistes qui ne connaissent pas ce sport passionnant de le découvrir. J’ose espérer que pendant nos épreuves du championnat, il y aura la
presse écrite, parlée et télévisée.
-Vous avez été pendant longtemps un champion incontesté en Côte d’Ivoire. On dit souvent que lorsque vous courez une épreuve, les autres pilotes luttent pour la seconde place puisque la
première a priori. Et puis vous avez aussi participé à des épreuves du Paris-Dakar. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Paris-Dakar ? Oui mais bon, ce qu’il faut savoir, c’est que pour devenir pilote professionnel, c’est beaucoup plus dur que de devenir footballeur professionnel. Pour une équipe de football vous
avez 22 joueurs contre 1; 2 à 3 pilotes par usine. Donc pour pouvoir percer au sein du sport automobile international, les places sont extrêmement limitées. C’est pour cela qu’on a
malheureusement pas énormément de pilotes professionnels. Je suis le seul ivoirien à obtenir le statut de pilote international et de pilote professionnel. Cependant, nous avons un plateau assez
relevé ici en Côte d’Ivoire, mais les places sont extrêmement chères. Donc pour devenir pilote professionnel c’est dur. Mois j’ai fait une dizaine de Paris-Dakar avec la meilleure place qui était
la place de troisième. J’ai aussi fait le Paris-Pékin, le Paris-Le Cap. Pendant plus de dix ans j’ai fait du rallye raid et plusieurs championnats d’Afrique depuis 1969.
-Aujourd’hui, si l’on vous demandait vos besoins pour relever le rallye de Côte d’Ivoire pour le repositionner à l’échelle internationale, que diriez-vous ?
C’est à tout le monde de donner un coup de main. Mais ce n’est pas uniquement des besoins, certes, c’est un sport qui coute extrêmement cher, il y a donc le nerf de la guerre : l’argent. Puisque
les sponsors retrouvent eux aussi comme le monde ivoirien la confiance, si eux aussi nous font confiance après ces mauvaises années comme vous l’avez dit, qu’ils s’aperçoivent qu’il y a des
retombées médiatiques au travers du sport automobile qui permettront aux différents sponsors de se retrouver sur nos épreuves. Ce sont des sponsors que nous cherchons et non des mécènes. Si
c’était des mécènes que nous cherchions ce serait plus facile, mais ce sont des sponsors. Malheureusement je n’en ai pas encore trouvé en Côte d’Ivoire. Donc ce qu’il faut ce sont des sociétés
qui croient en notre sport et qui s’aperçoivent qu’en investissant sur un pilote ou une épreuve, il y a des retombées grâce aux médias et qu’il y a des retombées qui sont intéressantes pour eux.
Ça c’est primordial. Mais pour revenir au championnat d’Afrique, ça serait déjà magnifique pour nous, mais championnat du monde ça risque d’être extrêmement dur pour nous. Parce que les
règlements internationaux ont totalement changé, les voitures ont totalement changé également. Les voitures qui participent au championnat du monde sont des voitures WRC, ce sont des voitures
extrêmement compliquées qui peuvent très difficilement faire 50km sans avoir d’assistance. Vous imaginez un peu pour revenir aux épreuves d’antan du rallye Côte d’Ivoire Bandama de 5000km, il y
aurait absolument personne à l’arrivée. Donc il faut trouver et s’adapter, nous Côte d’Ivoire, au règlement international avec des épreuves beaucoup plus courtes avec environ 1000 à 1200km, comme
c’est mon intention cette année le rallye Bandama. Ce sera un rallye qui fera environ 1200km aux normes internationales. Mais le gros problème que l’on a, on a quasiment obligation de faire ces
épreuves sur des routes fermées. Et comme vous savez en Côte d’Ivoire c’est absolument impossible de fermer à 100% les routes. C’est là notre grosse difficulté.
-Quels sont donc vos espoirs et vos craintes pour la relance du sport automobile en Côte d’Ivoire et sur le plan international ?
Mon espoir, c’est de faire revenir à l’échelon international, de faire revenir dès cette année des pilotes internationaux pour participer à notre épreuve pour que dans l’immédiat qu’elle compte
pour le championnat d’Afrique. Pour le championnat du monde, ça m’importe peu. Ce qu’il faut c’est de redonner confiance à notre pays et aux pilotes internationaux. Monter à ces derniers que la
Côte d’Ivoire a retrouvé sa stabilité et nos pistes sont aussi belles que le pays est aussi beau et qu’on peut participer avec beaucoup plus de facilités qu’en Europe aux rallyes sur terre en
Côte d’Ivoire. Mes craintes, c’est que les pilotes ne trouvent pas suffisamment d’argent pour s’acheter des voitures suffisamment compétitives pour revenir à un bon niveau du sport automobile.
Mais grâce à la presse et grâce à tout le monde j’ose espérer que c’est une chose qui se fera.
-Pensez-vous à former des équipes de coureurs puisqu’il semble plus facile en équipe de trouver des sponsors?
C’est un peu l’idée que j’ai. Pour relancer ce sport, c’est relancer de jeunes Ivoiriens avec des voitures qui seront certes des voitures dans l’immédiat des voitures qui ne sont pas susceptibles
mais au moins d’être à l’arrivée. C’est donc de donner à ces jeunes des voitures à un cout très très bas de façon à ce qu’ils puissent déjà commencer avec une petite équipe de 5 voitures par
exemple, des voitures identiques. Ils se battront entre eux pour arriver à percer en se faisant remarquer par des sponsors et pouvoir s’acheter des voitures plus intéressantes pour participer et
chercher à gagner aux différents rallyes.
-En matière de promotion des sports, il y a aussi la formation des athlètes. Quelle est la politique de la FISA que vous dirigez dans ce sens ?
Alors, pour cela, nous avons un de nos clubs qui s’appelle le Rallye Club automobile d’Assinie qui a fait un circuit sur terre et notre objectif est de travailler avec ce club pour réussir à
former les pilotes qui le souhaitent sur ce circuit-là. Et là, moi-même je suis disposé à former les pilotes qui en font la demande, voire moi-même donner des cours à ces pilotes, à leur
apprendre le B-a-BA du sport automobile.
-A quand le prochain Rallye Côte d’Ivoire Bandama ?
Ce sera au mois de décembre 2012. Et les préparatifs vont bon train déjà. C’est dans l’optique d’un Bandama aux normes internationales que j’ai imposées aux rallyes nationaux inscrits au
championnat de Côte d’Ivoire des rallyes. C’est une façon de former et les pilotes et les organisateurs à s’y conformer déjà et de s’y habituer. Chaque rallye qui doit se disputer sera un
mini-bandama avec les normes internationales. Alors, arrivée en décembre à notre rallye N°1, les pilotes et les organisateurs seront déjà rodés aux normes internationales.
-Quel appel aux anciens dirigeants du sport auto qui se tiennent à l’écart de ce sport qu’ils ont aimé ?
On a besoin de tout le monde. J’ai déjà, et vous parmi les premiers, qui reviennent vers nous pour qu’ensemble nous relancions le rallye en Côte d’Ivoire. Je fais donc un appel général à tous les
anciens et les jeunes qui sont intéressés par les sports automobiles à venir nous donner un coup de main pour que le sport automobile retrouve sa vraie place à l’échelle internationale.
Site officiel :
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La nouvelle Fédération Ivoirienne de Sport Automobile (FISA) et l’Association Sportive de l’Automobile Club de Côte d’Ivoire (ASACI) organisent la 37è édition du Rallye Côte d’Ivoire Bandama, les 02, 03 et 04 décembre 2011, après deux ans de silence.
Une quinzaine d’équipages essentiellement locaux sont annoncés pour ce premier Bandama d’essai, qui va consister à ramener cette compétition, autrefois d’envergure, au calendrier international.
Au cours d’une conférence de presse animée jeudi dernier à Koumassi, les organisateurs, avec à leur tête le nouveau président de la FISA, Alain Ambrosino, ont donné toutes les dispositions pratiques pour la réussite de cette compétition qui va donner le ton du retour véritable du Bandama sur l’échiquier international.
Un observateur de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) sera d’ailleurs présent pour évaluer l’organisation de ce coup d’essai.
Les équipages auront à parcourir plus de 404 Km dont 240 Km de secteur compétitif, en 5 boucles, soit trois le samedi 03 et deux le dimanche 04 entre Grand-Bassam, Bonoua, Assinie, Alépé et Grand-Bassam où le départ sera donné à 10 h. Les vérifications techniques se feront le vendredi 02 décembre devant Pirelli Cacomiaf à Treichville.
«La sécurité, l’un des points essentiels de cette course est garantie, sur tout le parcours et surtout les secteurs compétitifs. Des campagnes de sensibilisation, une couverture satellitaire et radio, des ambulances et des agents de sécurité sont mobilisés ». Selon Patrick Namé, président de l’Asacci.
Des coureurs ivoiriens tels que Soumaoro Moriféré, Fané Bakary (anciens vainqueurs du Bandama), Adama Cissé, Nobout ... seront dans la grille de départ. De quoi réjouir le président Ambrosino qui estime que ce Rallye est avant tout l’affaire des ivoiriens.
Etant donné qu’il s’agit de repositionner le Rallye Côte d’Ivoire Bandama.
En tout cas, le président de la République de Côte d’Ivoire et tout le gouvernement y tiennent, à en croire le Ministre des Sports, Philippe Legré. « Nous sollicitons l’implication de tous, afin de réussir ce pari. C’est ensemble : autorités ivoiriennes, FISA, organisateurs, clubs, pilotes, journalistes, sponsors… que nous réussirons le pari de remettre le Rallye ivoirien en scelle. Nous sommes sûrs que ce Bandama sera beau, car techniquement on sera à la hauteur. Les Pilotes locaux devront donner le meilleur d’eux, car du niveau de cette compétition dépendra le retour des équipages étrangers», ont conclu «Ambro» et Namé.
Pour préparer ce Bandama expérimental, les équipages du championnat ivoirien ont chauffé les moteurs, samedi dernier à Assinie à travers un Top Chrono remporté par le jeune et prometteur pilote Gary Chaynes sur Mitsubishi Evo 6, devant le dinosaure du sport-auto ivoirien Soumaoro Moriféré.
Un palmarès bien fourni : Il faut espérer qu'un jour il renaitra tel un Phoénix !...
1969 : Mr. & Mme Gérenthon (Renault 8 Gordini)
1970 : Schullet - Grassiot (Datsun 1600 SSS)
1971 : Neyret - Terramorsi (Peugeot 504)
1972 : *Fall le dernier à Douala !!!... Aucun Arrivant !!!... Fall - Flocon (Peugeot 504)
1973 : Hermann - Schuller (Datsun 180 BSSS)
1974 : Makinen - Liddon (Peugeot 504)
1975 : Constent - Flocon (Peugeot 504)
1976 : Makinen - Liddon (Peugeot 504 coupé V6)
1977 : Cowan - Syer (Mitsubishi Colt Lancer 1600)
1978 : Nicolas - Gamet (Peugeot 504 coupé V6)
1979 : Mikkola - Hertz (Mercedes 450 SLC)
1980 : Waldegaard - Thorzelius (Mercedes 500 SLC)
1981 : Salonen - Harjanne (Datsun Violet 160 J)
1982 : Röhrl - Geistdorfer (Opel Ascona 400)
1983 : Waldegaard - Thorzelius (Toyota Célica Turbo-TCT) Gr.B
1984 : Blomqvist - Cederberg (Audi Sort Quattro) Gr.B
1985 : Kankkunen - Gallagher (Toyota Célica Turbo-TCT) Gr.B
1986 : Waldegaard - Gallagher (Toyota Célica Turbo-TCT) Gr.B
1987 : Eriksson - Diekmann (VW Golf GTI 16S)
1988 : Ambrosino - Le Saux (Nissan 200 SX)
1989 : Oreille - Thimonier (Renault 5 GT Turbo) Gr.N
1990 : Tauziac - Papin (Mitsubishi Galant VR-4)
1991 : Shinozuka - Meadows (Mitsubishi Galant VR-4)
1992 : Shinozuka - Meadows (Mitsubishi Galant VR-4)
1993 : Servant - Brion (Audi 90 Coupé S2)
1994 : Servant - Brion (Audi 90 Coupé S2)
1996 : Ambrosino - (Mitsubishi Lancer Evo 3)
1997 : Ambrosino - (Mitsubishi Lancer Evo 3)
1998 : Servant - Brion (Peugeot 106 - Kit LTB -)
1999 : Molinié - Tribout (Toyota Célica 2000 GT)
2001 : Bob & Tom Colsoul (Mitsubishi Lancer Evo 6)
2003 : Fané Bakary - Konan Clément (Subaru Impreza)
2005 : Fané Bakary - Konan Clément (Subaru Impreza)
2006 : Patrick Emontspool - Alain Robert (Subaru Impreza WRX STI)
2009 : Soumaoro Moriféré - Philippe Garcia (Mitsubishi Lancer Evo 9 - préparation Colsoul)
2011 : Soumaoro
Moriféré - Philippe Garcia (Mitsubishi Lancer Evo 9)
2012 : Soumaoro Moriféré - Philippe Garcia (Mitsubishi Lancer Evo
9)
2013 : Fané Bakary - Fané Moussa (Subaru Impreza WRX
STI N12)
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